Je remets ici le texte de LEPREZ qui se trouvait dans le sujet du vote :



Maintenant que le moment chaud est passé, je vais vous expliquer le pourquoi et le comment.
En premier lieu, ceux qui parlent de censure ont une idée de ce mot qui ne correspond pas à la situation.
Ma première réaction quand j’ai vu l’édito sur le forum a été la colère.
C’est un document interne qui n’avait pas à être diffusé, surtout accompagné de la polémique qui l’accompagne.
En suite cela été de la déception, car le forum est ouvert à toutes les discussions soient, mais attaquer les bénévoles de l’A.D me semble des plus choquant surtout venant des mêmes bénévoles qui ont obtenu toute la confiance de celle-ci.
Mais cela m’a permis de prendre le poids de la confiance à accorder à l’avenir, de même cela m’interpelle sur le droit à laisser toutes latitudes à des gens n’ayant pas la véritable culture du bénévolat dans les C.C.F.F.
Maintenant revenons à ‘l’EDITO’, puisque certain ont jugé bon de diffuser ce document sans autorisation.

(1er constat)

Lors de l’assemblée générale on m’a fait passer l’information que le colonel avait donné l’ordre de ne pas l’envoyer avant notre assemblée. Je laisse au polémiqueur le choix d’interpréter cette position.

(2eme constat)

Notre bénévole étant quasiment bouclé, nous n’avions pratiquement aucun édito de nos partenaires. En effet :

- la PREFECTURE PAS D’EDITO
- l’O.N.F PAS D’EDITO
- la D.D.A.F PAS D’EDITO
- l’UNION DES MAIRES PAS D’EDITO
- le S.D.I.S EDITO.
- La REGION EDITO.
- Le DEPARTEMENT EDITO.

Un petit peu d’histoire, nous n’avons aucune obligation de mettre un quelconque édito d’une quelconque personne dans notre revue, hormis ceux des structures qui nous aident financièrement.
J’ai donc décidé puisque nous n’avions qu’un seul partenaire, de ne pas favoriser celui-ci par rapport aux autres.

(3eme constat)

Depuis plusieurs mois, le S.D.I.S et l’union départementale n’arrête pas de faire de la désinformation sur les C.C.F.F et sur l’A.D. Les preuves sont au bureau pour ceux qui en douteraient.
Vous vous êtes braqués dans l’édito sur le lieu d’intervention des C.C.F.F et sur le terrain des opérations.
Le problème ne se situe pas du tout là.
Pour ceux qui sont intervenus dans les différentes opérations coordonnées par l’AD, savent quelles ont toutes été approuvées par les maires et l’union des maires.
Y compris la dernière sur le Montaiguet, ou le président de l’union des maires nous a donné sont feu vert pour cette opération.
Que nos amis pompiers n’acceptent pas cette situation, c’est leur problème. En tout cas nous, nous n’en n’avons pas.
Par contre le fait de dire :

« Les CCFF sont des associations dont le maire est le président »
« Nicolas Sarkozy a dit ceci ou cela sur les missions des C.C.F.F »
Et le reste que je vous engage à découvrir dans les lignes ou du moins entre les lignes.

En conclusion :

N’oublions pas que notre bénévole est une revue C.C.F.F, pour eux et pas contre eux.
L’A.D doit défendre les C.C.F.F et tous les bénévoles, il existe certaines informations qui peuvent être transmises aux bénévoles et d’autres qui font parties d’un ensemble et ne peuvent être sortie du contexte, elles sont à votre disposition, mais il faut venir les chercher au bureau, ou faire partie d’une commission qui s’en occupent.
Cette édito non seulement ne rentre pas dans nos obligations, mais encore dessert l’image des C.C.F.F en faisant passer des informations erronées.
Maintenant, je suis votre président, vous avez le droit de me juger, mais ne faites pas de polémique sur la gestion de votre A.D. Trop de gens travaillent bénévolement, trop de personnes s’impliquent pour l’ensemble des C.C.F.F.
Si vous juger que j’ai pris trop de prérogative, en 2006 une nouvelle élection vous permettra d’exprimer votre choix.
Ne tombons pas dans l’horreur de la politique.
J’ai d’autres informations très importantes concernant la situation, mais j’ai toujours œuvré dans le but d’arranger les choses et je ne vous les diffuserais pas
Laissons les fats dénigrer notre travail et persévérons dans notre engagement pour les autres.
Restons unis dans notre volonté d’agir pour le bien de notre commune au service de notre maire.

Votre (encore) président
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Merci à vous qui savez donner sans rien attendre.